Dachte ich, mit der letztwochigen Folge sei der Artikel von Portante über den abgedrifteten Kapitalismus ("Le capitalisme à la dérive") beendet, so wurde ich diese Woche im Le Jeudi von Teil 3 überrascht, in welchem Portante die Krise des Kapitalismus auch als "permanente Sinnkrise" versteht. Portante schlussfolgert, wieder resigniert, aber man kann dem Gedankengang folgen:
"Politiquement, cela ne peut favoriser que ceux qui propagent des formules faciles à saisir [siehe auch Teil 1]. Voilà l'autre cercle vicieux qui s'est emparé des choses.
L'évidage des cerveaux remonte à la sphère politique et y installe le degré zéro de la pensée. Ce qui fait, qu'on le veuille ou pas - mais je suis convaincu qu'on [wer ist dieser "on"? Der Zeitungsleser?] le veut - le lit des dirigeants aux idées creuses, mais à la gueule grande et aux bras musclés."
Keine Kommentare:
Kommentar veröffentlichen