Deux couplets apocryphes de L'Internationale, tombés en oubli pour des raisons évidentes:
Il avait de belles moustaches
Le sourcil noir le regard clair
Un peu bourru un peu bravache
Pour nous c’était presque un père
Joli cœur sous une peau d'vache
Grand cœur sans en avoir l'air
Révolutionnaire sans tâche
Oui Staline est exemplaire
Ouvre bien tes yeux, camarade
Ouvre bien tes yeux, camarade
Et vois où sont les renégats;
Sors du brouillard, de cette rade,
Rejoins tes frères de combat !
Crie : À bas le révisionnisme,
À bas les mystificateurs !
Vive le marxisme-léninisme,
Notre idéal libérateur !
Keine Kommentare:
Kommentar veröffentlichen